L'histoire de l'Eglise Romaine, Constantin Le Grand (Le jugement par Petrus romanus)
Pierre le romain annonce son arrivée
L'histoire de l'Eglise Romaine-Constantin Le Grand
Par Pétrus romanus
AVERTISSEMENT
Cet essai roman-poétique est une œuvre fictive à caractère de réflexion.
Cependant l’œuvre est basée sur la pure fiction à des événements réels.
Cet essai n'a pas de vocation à des pensées religieuses et ni de sectes.
Ce livre n'a pas aussi de dessein d'être historique, il reste même virtuel.
« Un essai est une œuvre de réflexion portant sur les sujets les plus divers et exposée de manière personnelle, voire subjective par l'auteur. Contrairement à l'étude l'essai peut-être polémique ou partisane ».(Wikipédia)
Avant-propos
Peut-on remplacer la morale par les paroles de la bible ?
Je dis cela comme une forme d'intuition et que nous sommes peut-être seul sur la terre !
A la question fondamental si Dieu existe réellement, nous avions tous répondu que oui mais notre esprit, le représente sous plusieurs formes ! Chez le bouddhisme c'est à la zénitude de l'esprit que remporte le corps, on peut le qualifié qu'il fait parti du 7ème sens. Aussi idem pour les chinois (asiatiques, orient ou autres…), même que les indiens d'Amérique, avaient adoptés les esprits et on pourrai parler de 7ème sens.
L'européen et les musulmans sont à notre identique pensée et n'utilisent très peu le septième sens. Mais alors pourquoi nous utilisons pas ce 7ème sens au quotidien ? Nous n'avons pas dans nos rituels religions le droit d'aller le chercher ou l'utiliser ! Oui, mais faut-il, peut-être, avoir la capacité de le faire ? Vous et moi nous n'avons pas les dons nécessaires pour se concentrer sur nous-même et de pouvoir consacrer sa vie à la spiritualité. On retrouve ce dernier chez les moines, les bouddhistes et les chinois car ils ont des traditionnelles rituelles qui se perpétuent de générations.
A la question si Dieu existe, mais où existe-il en nous, la réponse c'est il est notre notre morale ! Nous ne sommes pas Dieu, et ni saint sur terre (pape)! Nous ne sommes pas non plus l'esprit de Dieu. Nous sommes sa volonté et nous confessions, cette moralité d'esprit, en communauté,. Nous devons espérer que le meilleur de nous même et le respect d'autrui par le 6ème sens (le mental phénoménal). Ce dernier n'est présenté comme une valeur à notre propre existence humaine. Nous devons donc rester aux commandements de Dieu et nous devons le prosterner pour le respect de notre âme après notre mort et à la condition si l'homme meurt et ne vit qu'une fois !
L'homme en sera t-il déçu si son mental et sa morale l'ont trompés !
Certes, après sa mort il ne le sera pas, puisqu'il ne reviendra parmi nous directement. L'existentiel est-il réellement une potentialité ! Il est la cause des nombreuses croyances chez les bouddhistes et chez les indiens, cela se nomme la «réincarnation».
Notre seul Dieu nous remet-il pas, lui aussi, sur la bonne route en nous renaissant de nouveau.
A travers le septième sens, j'ai fais une connaissance extraordinaire celle qui relie la science de la divinité à celui de la pensée prophétique de l'homme. J'ai rencontré Michel de Nostrodame, il est plus connu sous Nostradamus. Ce qu'il faut dire au sein du septième sens de la vie, c'est le pouvoir qu'on génère. Le plus grand prophète où les prophéties n'ont jusqu'à présent étaient élucidées. Il se retrouve dans ce registre qu'est l'Intuition.
Mais qui est réellement cet homme qui prophétie l’apocalypse ?
Les historiens eux disent que les prophéties n'étaient autres qu'une chronique d'époque et que le futur vient du passé !
Je me mets en méditation, sur mon moi-moi, et j'écoute la voix qui me guide et souffle à l'oreille. J'écoute ces messages venant d'au delà, et comme un messager, je me mets à les écrire en poésie et me concentrant sur la diction.
Pétus romanus (le messager de l'apôtre Pierre)
Pierre le romain annonce son arrivée
"Écris mon histoire, je suis la pierre de Foi"
J’écoute la voix de Pierre dit le romain
Il me dicte de faire savoir sa volute :
Des spiritus d’aujourd’hui aux peuples chrétiens
Bienheureux à vous et l’esprit que tu luttes.
Je ne suis pas sur la terre juste en esprit
Je te guide pour le faire savoir au monde
Que je reviendrai pour être juger, esprit
Règne sur un peuple esclave des frondes.
Écrits mon histoire, je suis pierre de Foi
Pierre le romain ou Pierre le premier pape.
Le concile d’an 325 à Nicée loi
M’a édifié comme promise à être pape.
Mon nom honorifique devient un romain
Je suis Pierre le romain pape de l’Église
Romaine de l’Empereur premier Constantin.
Il fit de l’Église la Fiancé l’élise.
Certes son règne fit libération des chrétiens
Mais en devient sous ordres un lien politique
Puissant sous statut de liberté des chrétiens.
« Divide ut regnes », diviser en politique.
Diviser, afin de régner sur Romulus
Et Rémus sous l’œil d’une louve.
Abandonnés seuls « est intrare Dignus »
Il est digne d’entrer dans le ventre de la louve.
Connaître tous ses secrets et celui d’après
Constantin Le Grand car l’Église ne c’est construise
A Rome sur l’édit d’acceptabilité
Du nouvel Empereur romain altruiste.
L’un des prêtres de l’Église, au nom d’Arius,
Voulaient leurs faire oublier certaines usages
Et des changements en Christ, non possumus
Accepter le césaropapisme des sages.
L’histoire risque d’être longue jugée utile
Constantin le Grand son initiateur à Rome
L’Histoire d’église nous révèle bien des secrets
Qui ne le sont plus à présent dans ce tome
Mais laisses donc le juge redoutable d’entrer.
Sur la vraie histoire « auri sacra fames »
L’histoire tout court, a perto libro, livre ouvert
Cité des sept collines a sacra fames.
Celle de la naissance de l’Église d’hier.
Celui qui sera le premier jugé c’est Pierre
Il avait dirigé conduit Marie-madeleine
Ainsi qu’une jeune fille « Sarah » dit-Pierre
Avec l’accord de Jésus-Christ quand même.
Marie et Sarah ont été déviés en France
D’où ce petit village nommé Reine le Château
Marie de Magdala, la prescience
De l’Église et de Dieu le Père très haut.
Marie Madeleine ou Sainte Madeleine,
Appelée Marie la Magdaléenne qui suit,
Jésus-Christ du début, jusqu'à la dernière cène.
La treizième apôtre, « in veritas » acquit.
L'apôtre des apôtres selon Pierre,
Lui qui est le « Premier apôtre » du Christ.
Elle la pécheresse aux sept péchés pires
A qui oint, de parfum Jésus qui est le christ.
L'apôtre Pierre se plaignait à Jésus-Christ
Que Marie parle sans cesse, sans silence
Mais Jésus ne prenait partie d'elle, lui le Christ,
Pour l'encourager à s'exprimer en France.
Elle était considérée comme une visionnaire,
Mieux qu'un simple disciple et prédicateur,
A l'époque ce n'était pas la place d'une mère
Marie devenant « cheftaine spirituelle » ailleurs.
Rivalités de Pierre à Marie-Madeleine !
Si Pierre acceptait de faire voyager Marie,
Sur une destination quelconque mais loin
De ceux qui en voulaient à leurs propres vies
On racontait que Jésus a tissé des liens.
Ces liens sont puissant l’initiant à son Église.
Sa Fiancé est son but, faire développer
L’Histoire du christianisme et L’Église
Dans le monde entier sa dernière volonté.
De même il y avait plus qu'un secret spirituel
Entre eux, maintes fois l'apôtre Jean révélait
Le nombre de baisers à Marie fit réel
Cela prouve sa préférée qu’elle était.
Pourtant Pierre avait ce rôle de chef des apôtres
Mais ce fut par ce témoignage de la première
Lui, voir ressuscité fait d’elle cheffe des apôtres.
Au seul grand regret d’un apôtre, qu’est Pierre.
Le passage sur le baiser s'interprète
Dans la croyance juives de pure tradition,
Pour laquelle le maître embrasse son adepte
Pour lui transmettre le souffle, la prétention.
Mais aussi l’amour de l'âme spirituelle !
Et la tradition fut repris par les chrétiens
De même la bise sur bouche n’est traditionnelle.
N’est cependant pas un péché pour les chrétiens.
D’ailleurs Marie-madeleine disait « Rabbouni » Maître
A Jésus, ce qui prétend valoir à « Rabbi »
En juif, ce titre vaut un haut respect de Maître.
Une grande affection familiale aussi.
Si Pierre est le rival de Marie-madeleine
Pourquoi avoir accepté le vœu de Jésus
Que Marie-madeleine soit partie sans peine
Et c’est à Reine le Château qu’elle y fut.
Ce qu’ est devenue Marie-madeleine en France
Fut l’un des secrets mieux garder de religion.
Elle était visionnaire, parlait d’Église en transe
Elle regroupait ses brebis pour faire union...
L'histoire de l'Eglise Romaine-Constantin Le Grand
Naissance de l’Église aux sept rochers.
Naissance du Christianisme à Rome
Le christianisme était avant l’an 312,
Après Jésus Christ, une minorité
Il avait bien de difficulté an douze
Certes connu en Gaule mais esclave allié.
A cause donc de la persécution, à Rome
Par de nombreux Empereurs temps romains
De même il n’y avait à pareil époque, en somme
Aucun Statut mais des sévices pour sa fin.
Rome, a sanctionné le christianisme
Par des persécutions sur des pauvres chrétiens.
Bien que ces derniers avaient encore lyrisme
Pour cette foi à Christ, mort pour sauvé ses siens.
A cela des siècles postérieurs à an trente.
Les premiers chrétiens se cachaient dans des endroits
Secrets pour continuer le travail de rente
Spirituelle de Jésus après mort en trente-trois.
Le travail des douze apôtres et sans Juda
Car ce dernier étant suicidé pour traîtrise
Marie est douzième apôtre après Juda.
Elle est devenue l’apôtre qui les maîtrise.
L’apôtre des apôtres fit son dernier titre
Pour avoir vue Jésus ressuscité des morts.
Le troisième jour, avec Pierre le premier en titre
D’apôtre par le Christ vivant parmi les morts.
Les rôles religieux dans l’Empire Romain
Était garantir une forme concrète
De stabilité d’État au peuple romain
Qui adoraient plusieurs dieux et ceux de Grèce.
La Grèce antique était surtout puissante à Rome.
C’était un point ferme pour les Empereurs romains,
Avant l’arrivée de Constantin le Grand, homme
Qui ce dernier optait plus tard pour un dieu sain.
Nous vivons l’époque païenne, les sacrifices
Étaient pour les dieux : de terre, de l’univers
De mer : Mitha, Janus, Rê dieux aux sacrifices.
Et Isis, Horus, Osiris : dieux d’Égypte d’hier.
Ces dieux ont été toujours admirés des Hommes.
Les romains avaient une crainte pour les chrétiens.
« Ils disaient : « c’est la faute aux chrétiens » de Rome
S’ils étaient refusés d’obtenir un vœu du destin.
Ces chrétiens recevaient des punitions infliges
Par les empereurs romains tout comme les païens,
Les considérés d’être esclaves, par litiges.
Les chrétiens vivaient tous dans la peur des païens.
On leur accusait d’inceste entre-eux, sœur et frère.
Ils rajoutaient même que les chrétiens mangeaient
La chair du Christ et buvaient son sang sous tanières.
C’est par malheur que les païens y colportaient.
De même, on révélait qu’ils étaient des êtres
De mauvaises fois et donc il fallait supprimer
De leur empire avant qu’ils soient malhonnêtes.
Une loi prodiguait nul de se rassembler.
De manière publique et privé et les traîtres
Païens romains avaient une obligation
De signaler les messes qui étaient tenues secrètes
A leurs prêtres afin d’obtenir punitions.
Les chrétiens d’époque subissaient des tortures
Ils mourraient pour avoir foi en Jésus le Christ.
L’Empereur Néron leurs jetaient pour pâture
Aux lions afin de terroriser ceux du Christ.
Les chrétiens mourraient par les lions sous torture
Néron donnait l’exemple à ceux qui voulaient
Se convertir en Jésus, par ces tortures
Les païens venus dans l’arène, jubilaient.
Ils étaient aux plaisir de ce manifeste.
Certains chrétiens étaient attachés aux poteaux
Et étaient recouvert de goudron, en peste
De décourager plus d’un chrétien à l’agneau.
Aux premiers événements chrétiens d’Église,
Rome, par ses brutales persécutions,
Omettait la difficulté d’être en d’Église.
Être chrétien c’était de mourir par punitions.
Leurs vies en Christ en sont là un témoignage
Très puissant que seul la vérité et la Foi
Nous pourra donc expliquer leurs dévouements
D’accepter de mourir en martyre pour la FOI.
Les chrétiens étaient la destinée puissante
Du martyre et torture qu’infligeaient les romains.
Leurs morts libéraient leurs âmes, de la souffrance
Et ils savaient que Jésus leurs tendait les mains.
Leurs martyres étaient une volonté d’Église.
Comme Jésus ils croient au paradis du ciel.
Ceux qu’ils auront dans la paix surnaturelle
Être martyres et devenir éternels.
Leur sang donner au nom du Christ et leurs prières
Avant de mourir étaient de raison du Ciel,
Pour sauver leurs âmes près de Jésus le Père.
Ils ouvraient pour d’autres la voie vers le Ciel.
L’espoir du paradis et rencontrer Dieu le Père.
Les païens leurs voyants si brave dans cette mort
Que même la torture ne faisait peur et les prières
Puissantes renforçaient cette religion du sort.
Certains païens leurs rejoignaient par complaisances.
Révélation qui les contraient de se cacher
Sous des labyrinthes ou galeries déplaisantes
Pour fuir ou échapper donc aux romains fâchés.
Les chrétiens établissaient des hécatombes
Qui creusaient par eux même pour y vivre
Tous, dans un esprit de communauté de tombe
Afin que les romains cessaient de les poursuivre.
Se concrétiser enfin les premières Églises
De Rome, sous la terre, en priant Jésus
Leur sauveur, en aide d’accroître leur Église
Mais surtout d’obtenir libération par Jésus.
De leurs fardeaux et du poids de l’esclavage
De ses empereurs romains et qui sont païens.
Jusqu’ici les empereurs n’avaient plus d’entrave
Sur les chrétiens qui n’officient publiquement.
Car l’Église cachée a été difficile
De pénétrer par les soldats romains païens.
Les nombreuses tortures donnaient si facile
Par les soldats sous l’autorité des païens,
Et des empereurs avaient là, l’assonance
Punitives attribuant à leurs jugements.
Aussi, les maladies, les choses d’arrogance
Tournaient plus à l’avantage de Rome plaisant.
Les faits de la prière touchait déjà son juge.
En l’an trois-cent-six, il y eu un faux espoir
Un nouvel Empereur, au nom qui préjuge
Le retour de grâce dus à des prières des soirs.
Un nom issu d'une lignée de militaires
Fortunés et venant de leur dernier combat
En Gaule où il fut à Naissus d’originaire
D’illyrie auquel le dernier empereur bas.
Constantin 1er dit « le Grand » gagne Rome.
Après l'abdication volontaire des augustes
Dioclétien et de Maximien, Flavius
Constantin rejoint son père à York et juste
Pour un au-revoir, à départ du père Gaïus.
Flavius, lui recueille son dernier souffle.
Il eu proclamation d’auguste par ses soldats.
Dans le même temps, Rome, Maxence, désouffle
Lui, fils de Maximien, est nommé « princeps » à
Rome, et cela par la garde prétorienne.
C’est ainsi qu’une guerre éclate alors
Entre les héritiers des tétrarques, vienne
Constantin qui se dirige vers Rome, dès lors
De sa vaillante troupe d’armée et traverse les Alpes
Au Mont-Genèvre. où il bouscule l'armée
De Maxence au Pont Mivius, au pied des alpages
Et près de Rome, le 28 octobre d’année
312, après que Christ est naissance.
Maître incontesté d'Occident, il convient
Avec Licinius, la dernière concurrence,
A un partage d'empire, Licinius l'Orient
Constantin l'Occident, et celui de Rome.
Il avait pris le pouvoir de Rome et les choses
Commencèrent à changer rapidement.
La situation prenait une tournure qui ose
A pareil épopée miraculeusement
Une libération pour tous chrétiens de Rome
César et Auguste ont été enfin vaincus.
Constantin apparaît comme le grand Homme
Qui allait rendre libre les chrétiens déçus.
Ces hommes forts, militaires de modeste
Éradication, ont redressé le vieil
Empire à la fin du IIIe siècle, lorsqu'il proteste
Devant ce peuple romain sa Foi d’éveil
A l’ère chrétienne, à laquelle il rajoute
D’avoir vu par songe, Dieu, lui révélant pouvoir.
A lui, Constantin, né d’Hélène en joute
D’un peuple résistant chrétien et de moire.
Et des païens romains vaincus de cette guerre,
A son père Gaïus, lui, Flavius Constantinus.
Que Dieu lui a envoyé à Rome par cette guerre
A fin d’être chrétien, « in medio stat virtus ».
« La vertu est au milieu du mensonge »
De même, il fit mettre des signes chrétiens
Une croix noire ou un chrisme, dûment au songe,
Sur ses armures avant de libérer ses siens
A Rome, et d’obtenir cette grande victoire.
Lui et ses hommes c’étaient convertis sur le champs,
De guerre en des chrétiens avec mission de gloire
Devant cette lumière, au-dessus du ciel, liant
Dieu à ces soldats venus du champs à prise.
Constantin laisse prétendre de libérer Rome
De cet empereur romain païen, d’emprise :
« Touto nika » par ceci tu vaincras Rome.
Ce fut là un des premiers péchés de L’Église
Son christianisme venait en réalité
D’Hélène, sa mère, à laquelle il aimait, l’élise
De la femme de son cœur, de sa vitalité.
Puis il y eu en Gaule le premier temple
Dédié à Marie-Madeleine l’apôtre chef
Dans le Sud de la Gaule, ce qui contemple
Fortement Constantin de se vouer en chef
Spiritueux dans une Rome païenne.
Qui a une telle influence sur Flavius
Dit par la suite Constantin 1er, règne
D’utile, de bon augure en victoire, Mivius.
Le chrisme de Constantin 1er sous sa forme
Le chrisme est un symbole chrétien qui forme
Deux lettres grecques Χ (chi) et P (rhô), en tout
La première apposée sur la seconde forme.
Il s'agit des deux premières lettres qui forme en tout
Un mot Χριστός (Christ) accompagné du chiffre
Du Christ, des lettres α (Alpha) et ω (Oméga).
Ces lettres grecques, symboles la totalité qui déchiffre :
Un message « commencement et la FIN » à…
En réalité, la jonction de ces deux lettres
Pour former un symbole préexiste à lui
Constantin au moment où il manifeste
Sa faveur envers le christianisme, à lui.
Dans le monde grec païen c'était à cette époque
L'abréviation du mot χρηστός (chrêstos), ou bien
La signification « utile, de bon augure » que,
Constantin indiquait soit d’un souhait, pour un bien,
Ou soit d’un commentaire approbateur, chrisme !
Le symbole fut adopté que par les chrétiens
Il est l'emblème monarque et du christianisme.
Le chrisme prend alors l'aspect d'un astre chrétien.
Elle est l’étoile à six rais qu’on la compare
Souvent à l'étoile que les mages suivaient,
L’étoile de Bethléem : Alpha si on compare
A l’Oméga, Constantin Premier, en six raies ?
« Ce dieu chrétien m’a donné la victoire »
Constantin proclamait avec sa troupe d’homme
Tous ornés de leurs boucliers le chrisme chrétien ;
Depuis Milan, où le départ de sa troupe d’homme,
Son rival, Maxence, traversait avec ses siens,
Ce fleuve « Pont Milvius » où la troupe
De Constantin les attendaient et obtenaient
Alors cette victoire historique de la troupe.
Fier de sa force par ce dieu chrétien, il tenait
A un vœux « s’autoproclamer » d’être le symbole
De la chrétienté et il le prouvait déjà
Par ses étendards impériaux, auxquels symboles
Du chrisme lui fit vaincu les romains de là.
Constantin devint cet empereur de Rome
Qui pensait qu’il était le messager de Dieu
Venu pour sauver cette ville, qu’est Rome !
«Oui, j’ai un signe, je suis sur la bonne voie »Dieu.
En bon homme politique, Constantin remarque
Les avancés du christianisme dans autres régions.
Il ne séduit encore qu'un dixième et marque
Le désire de changer l'empire à sa nation.
Surtout en Asie mineure et en Afrique
Du Nord, mais éclate une détermination
Étonnant dans les villes et qui implique
Une très grande opportunité d’action
De se rallier à la religion nouvelle,
Avec discrétion convenant parfaitement
A sa fonction politique, qui rappelle
Qu’il est Empereur, évidemment.
Constantin, ne sachant rien d’autre principes
De la religions chrétiennes, en fit l’uni
Tout simplement à un son parti politique.
Le christianisme devint soudain un parti.
Un parti politisé auquel croit ferme
Le nouvel Empereur Constantin Premier.
Nuls grands prêtres, nuls chrétiens libres n’en font terme
A sa volonté, de l’interdire, de nier…
Il fallait faire progresser le christianisme.
Et pour le faire Constantin était le pouvoir.
L’Empereur constituait sa force populisme
Qui unifiait païens et chrétien à mouvoir.
Certes, les romains étaient un peu confus, à Rome
Ils étaient incertains au sujet religieux
Que Constantin allait développer à Rome,
Ils leurs restaient donc que le choix, c’est d’en faire mieux !
Il fallait adhérer au parti politique
Du nouvel Empereur de Rome ou bien rien.
Reste que pendant son règne, d’Empereur, mystique
Constantin 1er, a permis au temps chrétien
Délivré un « Statut » de liberté aux pauvres
Chrétiens qui se cachaient de peur des romains
Les chrétiens paraissaient aux regards des autres
Romains comme des membres de secte aux yeux païens.
Ils ont été persécutés dans leur estime.
Ils ont obtenus, par Statut, les méritants,
Des postes influents et qui pré-destine
A la création de l’Église au Vatican.
L’Église chrétienne est une phase nouvelle
Pour les nouveaux prêtres chrétiens de Jésus-Christ.
Ou des consultants d’empereur d’église nouvelle.
Une grande partie de l’élite, au Christ
Se sont associer au pouvoir de l’Église
Sans se poser des questions d’ordre de tradition
Ils sont devenus des évêques de l’église
De même, avec libre dessein, des prêtres
A pareil époque ne pas être un chrétien
Sous le règne de Constantin 1er c’est d’être
Un opposant à son parti Chrétien.
Il vous obligeait à être avec Rome
Certains païens accédaient de se convertir
Si refus, il vous excluait du royaume
Aussi son christianisme fut de pervertir
Les romains à se donner à sa politique
Certains chrétiens ont obtenus des postes importants
D’autres se sont engagés dans l’armée d’élites
De Constantin 1er pour faire la guerre
Ou se préparant à des batailles pour le Christ
Dans les royaumes païennes où il y a guerre
De représentants chrétiens qui aiment le Christ.
Le Grand Constantin devient le Premier homme
Politique qui utilise la religion
Pour ses fins personnelles et celle de Rome
Puissante ou de prise d’empires religions.
Devant les romains qui l’aimaient, il se proclame
« Le Sauveur », l’édit de tolérance acquis
Du nouvel Empereur qui s’exclame
Légitiment revendiquer son titre requis
De « Grand », de « Premier » Constantin le Grand, Homme
Qui a changé le cours de l’histoire, chrétien
En faisant de cet ancien peuple de Rome
Jadis persécuté à de vrais guerriers romains
Désormais seul à la tête de l’Empire,
Constantin peut poursuivre son unique but
La christianisation convaincant son empire,
Permettant de maintenir l’unité, début
D’un vaste pouvoir qui règne son territoire.
Se proclamant le représentant du Dieu
Chrétien sur Terre, il se fait appeler en gloire
L’égal des apôtres, et accentue, l’odieux.
Par le biais du caractère totalitaire
Du dominât, instauré par Dioclétien.
«Ce Verbe de Dieu est le Seigneur du monde, qui se répand sur toutes les choses, et dans toutes les choses visibles et invisibles. C’est de sa main que nôtre Empereur très chéri de Dieu, a reçu la souveraine puissance, pour gouverner son État, comme Dieu gouverne le monde. Le Fils unique de Dieu règne avant tous les temps, et régnera après tous les temps avec son Père. Notre Empereur qui est aimé par le Verbe, règne depuis plusieurs années par un écoulement, et une participation de l’autorité divine. Le Sauveur attire au service de son Père, le monde qu’il gouverne comme son royaume, et l’Empereur soumet ses sujets à l’obéissance du Verbe. Le Sauveur commun de tous les hommes chasse par sa vertu divine, comme un bon Pasteur, les puissances rebelles qui volent dans l’air et qui tendent des pièges à son troupeau. Le Prince qu’il protège, défait avec son secours les ennemis de la vérité, les réduit à son obéissance, et les condamne au châtiment qu’ils méritent ».
(Eusèbe, « Harangue à la louange de l’Empereur Constantin», I -II. )
Ô, l’Église naissante est pourtant traversée
Par une série de crises et decombats
Théologiques et par aversion usée
De problématiques, et auxquels on se bat.
Constantin le Premier doit mettre un terme.
Ces disputes, les schismes, divisent les pieux
On constatait trois courants qui étaient fermes
L’orthodoxie, dont sa base est l’Église
Église chrétienne nouvelle de Rome,
Et qui considère que Dieu et le Christ sont tous
Deux divins, et que tous les deux sont en somme
Deux personnes distinctes, et un Dieu pour tous.
Un Dieu unique réuni en un être.
Le donatisme, venant du nom de Donatus.
Dont ses partisans, ayant décrété peut-être
Qu’aucun pardon ne devait être (à) quitus
A ceux qui, persécutés sous la menace
Et qui avaient renié leur foi, l’élisent
Évêque,à un autre, à sa place
En 311, tous encédant, ils refusent.
Nommant l’arianisme par le concile,
L’arianisme, qui tire son nom d’Arius,
Prêtre nord-africain, condamnéConcile
En 325 pour apaiser l’esprit d’Arius.
En effet les romains non païens, encore
Vivaient à leurs époques un enseignement,
Trois siècles auparavant de Jésus acore.
La doctrine d’Arius, n’a de conséquent
D’être contre le monarchianisme
Ce qui tend à confondre la trinité.
Les trois personnes : Père, Fils et Saint Esprit, schisme.
Cette volonté de distinguer cette trinité
En est prudemment les trois hypostases
Divines aboutit , dans l’esprit d’Arius,
A considérer qu’elles ne sont pas de phases
Égales : Père, Fils Esprits, selon d’Arius
Pour lui la personne divine est incréée
Et in-engendrée, donc, selon lui, seul est le Dieu
Le Père puisque Jésus a été engendré
Par le Père, Dieu ; et devient le Fils de Dieu
Jésus ne peut pas être pleinement Le Père
Dieu, il devient ainsi inférieur, postérieur à Dieu.
Cette thèse qui insiste au nom du Père
Du Fils sur l’obéissance de son père, Dieu .
Donne en partie, d’héritage à d’autre
De Paul de Samosate à un prêtre, lui
Appelé Kollouthos, dénonça aux autres
La doctrine arienne à Alexandre et qui
Est l’évêque d’Alexandrie en fit demande
D’invitationà Arius à des débats
Publics contradictoires avant demande
De rejeter sa doctrine arianisme
De crainte qu’elle se répand très vite en Égypte
En Libye dans les provinces de l’Orient
D’Asie Mineure, car en 320, en Égypte
Alexandre convoque un concileexcorient
A des évêques d’Égypte et de Libye blâme
Condamne et excommunie à l’exil d’Arius.
Il est chassé d’Alexandre, et se réclame
Un refuge chez Eusèbe et terminus
Pour son arianisme, plaidant ses amis de l’aide
Et d’un soutien moral, des synodes locaux
Interviennent en sa faveur, pour l’entraide
Mais le problème devient politique d’en Haut.
C’est pour rétablir la paix dans le domaine
Qu’à Nicée en 325 que Constantin
ConvoquaitConcile et Arius hors domaine.
À la suite de la condamnation du prêtre
Arius d’exiler, l'empereur ordonne
Le césaropapisme qui soit créer.
Une pratique d’État qui se gouverne
Se caractérise par amalgame qui ancré
Des affaires séculières et des affaires
De la religion vers un monde d’enfer.
L’Église se construit par un roi qui préfère.
Mettre en avant son parti chrétien vers l’enfer.
Mais sous un homme puissant tout de colère.
En réalité, le Christianisme chez lui
Ne vient s’ajouter à la liste de fières
Cultes pratiqués dans l’Empire et pour lui
Et de nombreux Romains, il n’est qu’un culte
Religieux parmi tant d’autres religions.
La plupart des romains mènent plusieurs cultes
Ils ne voient ainsi, aucunecontradiction
A vénérer le Christ à des divinités anciennes
Des dieux d’Égypte antique, Grecques et romains
Constantin a fait de la religion chrétienne
Une religion unique et d’État Romain.
Pendantses dernières années de sa vie, il livre
Plusieurs guerres importantes, sur le Rhin,
Le Danube et en Dacie, battant libre
Successivement les Alamans, par ses siens.
Mais aussi les Goths et les Sarmates.
Devenu sexagénaire, il fait succession.
Mystérieusement, il recrée en hâte
Une sorte de tétrarchie et qui par mention
N’est qu’un système anéanti mais qui aide
A contribuerl’Empire à sa division
En quatre, entre ses trois fils plaide
Aussi au fils de son demi-frère par union.
Après son trépas, il espérait que les quatre
Héritiers s’entendraient, preuve d’être ignorant
Et de croire vraiment aux prodigesdes quatre !
Les légataires se déchireront, méjugeant.
Vers Pâques 337, Constantin tombe
Gravement malade et se sachant condamné,
Il se fait baptiser par l’évêque qui l’onde
Le baptême sur son lit de mort ondoyé.
Constantin le Grand meurt dimanche Pentecôte,
Le vingt-deux mai de l’année trois-cent-trente-sept
Selon ses propres vœux, son corps qui s’y cote
Est transporté à Constantinople, et cet
Amour d’Église par des Saint-Apôtres,
Au milieu des faux sarcophages prédicateurs.
L’Église chrétienne, lui canonisecomme apôtre,
Sous le nom : « Saint Constantin Le Grand », créateur...
POSTFACE
Sainte Hélène (mère de Constantin)
Constantin Le Grand en résumer :
Constantin devenu «le Grand Constantin» par l’ensemble des romains qui l’aimaient et le proclamaient de sauveur. L’édit de tolérance du nouvel Empereur , peut légitiment revendiquer son titre de «Grand», car Constantin le Grand, a changé le cours de l’histoire, en faisant de cet ancien peuple de persécuté de véritable hommes supérieurs et de parvenir a faire la religion chrétienne celle de l’État Romain. Mais il a aussi fait assassiné au nom de l’Église des millions de chrétiens. Ces derniers ont été aussi des grands meurtrier au nom de l’Église de Constantin 1er .
Sa mort est fêtée le 21 Avril (Anselme). Sa mère est également devenue Sainte-Hélène : la sainte patronne des teinturiers et des marchands de clous et d’aiguilles chez les catholiques et chez les orthodoxes celle des archéologues (), elle aurait arpenté le Terre Sainte, afin de recueillir des reliques de la Passion (dont la Sainte Croix).
Constantin 1er pose la première pierre de sa ville, la fameuse Constantinople. Sur la rive européenne du Bosphore, la « Nouvelle Rome » qui est bâtie sur le site même de Byzance. Constantinople a une place stratégique au carrefour des routes maritimes et terrestres entre l’Orient et l’Occident, le Nord et le Sud. Située à l’extrémité d’une presqu’île et avec une enceinte sur son côté nord, la ville est sur un site défensif impressionnant.
Difficile, cependant, d’être catégorique quant à la sincérité ou les motivations profondes de Constantin. Mais ce qui importe, c’est qu’il a changé le cours de l’Histoire, en engageant l’Empire romain sur la voie du Christianisme – qui deviendra la seule religion officielle en 392, sous le règne de Théodose. Constantin a fait basculer le monde occidental dans la chrétienté de façon irréversible, jetant les bases de notre civilisation.
Sa conversion par baptême avant sa mort
«Constantin, qui ne trouvait pas chez les dieux le modèle de sa conduite, découvrant non loin de lui la Mollesse, s’empressa de la rejoindre. Celle-ci le reçut tendrement, l’enlaça dans ses bras, le revêtit et le para de vêtements aux couleurs chatoyantes, puis elle le conduisit à la Débauche. Ainsi le prince put-il aussi trouver Jésus qui hantait ces lieux et criait à tout venant : « Que tout séducteur, tout homicide, tout homme frappé de malédiction et d’infamie se présente en confiance. En le baignant avec l’eau que voici, je le rendrai pur aussitôt, et s’il retombe dans les mêmes fautes, lorsqu’il se sera battu la poitrine et frappé la tête, je lui accorderai de devenir pur. » Ravi de cette rencontre, Constantin emmena ses enfants hors de l’assemblée des dieux.»(Julien, « Le Banquet des Césars », 30.) .
Photos tirés des archives du Web et textes influencé par les historiens de « Phalange Saint-Martial ».
Pétrus romanus